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Lettre économique : compétitivité - janvier 2015

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La lettre économique de janvier 2015 aborde les sujets suivants : de la compétitivité de l’agriculture française, de la Baisse du revenu agricole européen, de la consommation de fruits et légumes en baisse chez les jeunes et que les États-Unis ne sont plus les premiers exportateurs mondiaux de produits alimentaires.

Compétitivité : rien n’est perdu

Le débat qui s’est installé depuis plusieurs années autour de l’érosion de la compétitivité de l’agriculture française n’est pas prêt de se tarir. On ne compte plus désormais les nombreuses études et les multiples diagnostics établis sur cette question de la compétitivité. On en trouve même, et c’est tant mieux, qui avancent que pour certains secteurs, la compétitivité reste intacte. Tel est le cas de la viticulture européenne et singulièrement française, selon une étude réalisée pour le compte de la Commission européenne.

Baisse du revenu agricole européen sur fond de recomposition de la géographie agricole européenne

Eurostat vient de publier les indicateurs de revenu l'Union européenne qui affichent une dégradation assez générale (baisse du revenu moyen par actif pour 21 États membres). Sur long terme, l'agriculture européenne se recompose et son centre de gravité s'ancre au nord.

La consommation de fruits et légumes en baisse chez les jeunes

Le cabinet ABC+ a présenté les résultats de l'étude sur la consommation de fruits et légumes chez les enfants de 6 à 12 ans (co-financement FranceAgriMer/Interfel)1.

Le saviez-vous ? Les États-Unis ne sont plus les premiers exportateurs mondiaux de produits alimentaires

Un fait remarquable s’est introduit dans les statistiques du commerce mondial de produits alimentaires, de nature à bouleverser, une fois de plus, la hiérarchie des nations impliquées dans ces flux. Depuis fort longtemps, les États-Unis étaient le leader des échanges mondiaux de produits alimentaires, en dépit du décrochage enregistré au début des années quatre-vingt, lié pour partie à la politique monétaire pratiquée par la Banque Centrale, qui avait conduit à la surévaluation du dollar.